Alors que l’horreur subie par les victimes continue d’être niée par les pays impliqués, Astrid Aprahamian révèle l’actualité douloureuse du génocide arménien, dont les conséquences désastreuses et à long terme ont inspiré les nazis dans leur projet d’éradication des Juifs. Puisant dans son expérience d’Arménienne d’origine ayant grandi au Québec, l’autrice choisit, contre la tentation de l’oubli, de porter la mémoire d’une histoire dont elle connaît « par coeur les dates, les noms des intervenants, des villes et des villages décimés, le nombre des morts, des déplacés, des orphelins. Le chemin le plus sombre est l’un des livres les plus personnels, et donc l’un des plus nécessaires et précieux, à avoir été écrit en français sur le génocide arménien.
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