Pour ce second travail photographique, les étudiants devaient capturer l’humain ou la présence humaine dans des lieux publics. Les photographies devaient exprimer une certaine recherche de poésie dans la vie quotidienne et avaient l’obligation d’être spontanées, c’est-à-dire qu’elles ne devaient pas comporter de mise en scène.

La photographie de rue n’est pas une pratique simple. Il faut écouter et observer, être disponible et savoir se perdre, tout en étant prêt à déclencher à tout moment.

Ce projet a été réalisé dans le cadre du cours Photographie offert aux étudiant.es de première année.
Professeur: Etienne Bégin-Thibault